Chères amies, chers amis,

Le réel est extrêmement simple et direct : 
ce qui est là, sous nos yeux. 
Il n’est ni bon ni mauvais, ni pour ni contre nous. 
Nos interprétations et nos réactions l’obscurcissent et l’embrouillent. 
Les histoires que nous développons à son sujet,  
auxquelles nous nous attachons et nous identifions,  
nous empêchent de garder le contact avec sa simplicité
et sa bonté inhérente.

Ces histoires nous enferment dans un monde de croyances, 
où l’agitation, la confusion et l’anxiété règnent. 
Le décalage avéré entre notre monde et la réalité  
engendre la souffrance 
et nous coupe de notre vérité fondamentale. 

Lorsque nous restons entier avec ce qui est 
et que nous n’avons plus besoin de nous créer 
nous ne souffrons pas. 

Qu’est-ce qui nous en empêche ? 

Belle exploration. 
 

– Nathalie